28 novembre 2010
Niort (79), la ville de Segretain
Un livre retrace la figure de cet architecte auquel on doit des édifices aussi emblématiques que la préfecture, le palais de justice ou l’église Saint-André.
Imaginons Niort avec une préfecture, un palais de justice, une prison, l’église Saint-André sur sa colline, qui ne ressembleraient pas à ce qu’ils sont aujourd’hui. Pierre-Théophile Segretain, c’est un peu le nez de Cléopâtre de l’architecture locale : son œuvre eût-elle été moins longue, la face de Niort en eût été changée. Car tous ces édifices sont signés de cet architecte, dont c’est peu dire qu’il a modelé notre environnement quotidien.
« A corps perdu, Pierre-Théophile Segretain, architecte », 600 pages chez Geste Éditions, 27€
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