LGV et archéologie préventive
«C'est
la première matérialisation physique de la LGV sur le terrain »,
souligne Sébastien Joly, chargé des procédures d'archéologie préventive
de la ligne à grande vitesse (LGV). Depuis le début du mois de juillet,
les campagnes charentaises voient fleurir les piquets de bois colorés
d'une tête rouge. C'est la codification qu'utilise RFF (Réseau ferré de
France) pour délimiter la zone, entre Tours et Bordeaux, concernée par
le tracé de la future LGV. Sur cette bande d'environ 70 mètres de largeur, qui traverse sept départements, seront ensuite organisées des opérations
d'archéologie préventive pour noter s'il y a ou non présence de vestiges archéologiques.
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